Envoyés à la prison Centrale au lendemain du coup d’État du 30 août qui a renversé Ali bongo, son épouse Sylvia bongo et son fils Noureddin valentin, accusés entre autres de détournement de fonds, blanchiment de capitaux et falsification de la signature du président de la République, auraient été exfiltrés de la prison centrale de Libreville pour un lieu tenu secret. Une nouvelle rapportée par jeune Afrique qui évoque des pressions diplomatiques subies par les autorités de la transition particulièrement de la part du président bissau-guinéen.
Interrogée par la rédaction de gabonmediatime, une source proche du palais , à apporté un démenti. Du coup, l’on se demande s’il s’agit de l’intox ou de la réalité.
Surtout que la nouvelle vient d’un média de renom et intervient au lendemain de l’annonce par le président de la transition, de la libération imminente de 1.000 détenus. Le général Brice-Clotaire oligui nguéma l’a fait savoir lors de son message à la nation de fin d année.
De toute façon, Sylvia et son fils n’ont pas encore été jugés pour prétendre à une quelconque grâce.